Devlin et Lazulis

RP AUDIO

je m'excuse pour l'orthographe, mais je ne fais que retranscrire mon interlocuteur et je ne prends pas toujours la peine de passer nos textes sous correcteur.

Devlin et Lazulis Giphy

Les personnages :
Devlin Staton :

Spoiler:

Lazulis :

Spoiler:

<center><div class="fd1"><br /><img src="https://2img.net/r/hpimg4/pics/478436aaa.jpg" class="img1" /><br /><div class="fd2"><gdtitre>Winchester Lazulis</gdtitre><br />
<cita>« Mange tes carottes si tu ne veux pas porter de lunettes.»</cita></div>
<div class="fd3"><table><tr><td><div class="bot" width="170"><center><img src="https://2img.net/r/hpimg4/pics/767532erer.jpg" class="img4">
<cita>FT. Louise Bourgoin</cita></center></div></td><td><div class="bot"><center><cita>CARTE D'IDENTITÉ</cita></center>

<k>Nom :</k> Winchester.
<k>Prénom(s) :</k> Lazulis.
<k>Âge :</k> 32 ans.
<k>Groupe :</k> Classe Ouvrière.

<k>Nationalité :</k> Anglaise.
<k>Lieu de naissance :</k> Londre.
<k>Date de naissance :</k> 2 juillet 1859.
<k>Situation Civile :</k> Célibataire.
<k>Religion :</k> Athée.
<k>Orientation Sexuelle :</k>Hétérosexuelle.
<k>Profession :</k> Nourrisse.
<k>Quartier Résidentiel :</k> Whitechapel .
<k>Activités Illicites :</k> Lazulis à tué un homme pendant son voyage en Chine.</div></td></tr></table></div>
<div class="fd3" style="max-height:300px;overflow:auto;"><center><tl>Jolie petite histoire...</tl></center>
Histoire
Je suis née il y a de cela 32 ans à Londres dans le quartier de Whitechapel dans la petite maison famillialle. Bien sûr comme vous pouvez très bien l'imaginer, je n'ai jamais vécu dans le grand luxe. Mon père travaillait dans les mines à charbon et ma mère travaillait en tant que couturière dans une petite boutique de vêtement.
Avec leurs deux travails à plein temps, la vie restait difficile. Dès mon plus jeune âge et comme j'étais l'aîné de 5 frères et soeur, je du m'occuper d'eux. Mon aide consistait à faire la cuisine, à faire la toilette des plus jeunes et à les surveiller.

Je ne suis pas allé à l'école, nous étions beaucoup trop nombreux et comme le salaire de mes parents ne suffisaient pas je dû m'instruire par mes propres moyens. Je me souviens de mon premier livre, je l'ai volé sur l'étale d'une librairie et je me suis faite avoir.... Le libraire n'avait pas beaucoup apprécié et je me suis fait engueuler comme jamais « voler, c'est le mal absolu » m'avait-il dit. Je m'en fichais bien pas mal, moi tout ce que j'avais vu à ce moment là avait été ce bouquin magnifique ! Après m'avoir passé un savon verbal, le bonhomme m'avait demandé pourquoi j'avais fais ça et si je savais lire. Je lui expliquais que non je ne savais pas lire et que j'avais trouvé la couverture du bouquin jolie et que c'était pour ça que je l'avais emporté.Après cet incident, je suis revenu tous les jours à la librairie pour y apprendre à lire.

Après cet incident, je suis revenu tous les jours à la librairie pour y apprendre à lire. Monsieur Figuy me prêta même des bouquins pour que je puisse les lire.

Quand j'ai eu l'âge, vers 15 ans, j'ai commencé à travaillé pour lui, j'ai pu rapporter un peu plus d'argent au foyer, c'était super.

Et puis un jour, j'ai rencontré l'homme de ma vie, enfin, c'est ce que je pensais à ce moment-là, je n'avais que 16 ans après tout. Il était fabriquant de chaussure dans la boutique qui était dans la même rue que celle du libraire. A force de se croiser dans la rue, nous avons fini par boire un verre ensemble et il se passa ce qu'il se passa. J'étais folle amoureuse et j'aurais tout donné pour lui !
Je crois que nous sommes resté 2 ans ensembles et il ne m'a jamais demandé en mariage . Du jour au lendemain il était au bras d'une autre femme. Je crois que c'est ce jour-là que j'avais commencé à détester les hommes. Surtout que j'étais tombée enceinte et je me demandais bien ce que j'allais bien pouvoir faire seule à élever un enfant.
Que vous le croyez ou non, j'étais prête à accueillir cet enfant malgré la réputation que ça allait me faire. Mais je perdis mon petit Edward alors qu'il n'avait que 5 mois. C'était une maladie des poumons, il avait arrêté de respirer pendant son sommeil.

Je n'avais pas le temps de me morfondre sur moi-même et je me suis plongée dans les bouquins et le travail. J'ai étudié les langues, c'était ma façon a moi pour oublier.

À l'âge de mes 25 ans, je perdis ma mère, un accident de travail, difficile à imaginer quelqu'un mourir en se piquant le doigt avec une aiguille. En fait, une poutre était tombée sur ma mère, le batiment était vétuste et elle n'avait pas eut de chance. L'ironie du sort. Mon père eut beaucoup de mal à s'en remettre, il tomba dans l'alcool et perdit son travail. Heureusement que moi et mon petit frère George travaillions.

Quand j'eus 27 ans monsieur Figuy me proposa un autre travail, un ami à lui qui était archéologue avait besoin d'un traducteur alors qu'il partaît en égypte pour des fouilles. La paie promise était plutôt intéressante, même pour le salaire d'une femme. J'acceptais, si je restais ici dans cette ville, dans ce quartier je n'arriverais à rien. En partant pour l'Egypte, j'avais cette forte impression d'abandonner ma famille derrière moi. Mes frères et soeurs m'avaient rassurés en me disant de ne pas m'en faire, car ils pouvaient se débrouiller sans elle désormais, mais cela restait quand même difficile de partir.

J'ai voyagé pendant 4 ans exactement. Je suis d'abord partie en Egypte pour accompagner monsieur Smith dans ses voyages et l'aider à traduire, puis je l'ai suivie en chine.

J'ai adorais voyager, j'y ai vécu tellement de choses, mais je n'en suis pas ressortie indemne.
Mon voyage en Egypte, pour commencer fut assez difficile, après tout, je sortais de mon Angleterre douillette, pour arriver dans des contré plus sauvages, je me suis endurcie là-bas, j'ai appris à supporter la chaleur, j'ai appris à me servir d' armes, comme le revolver, le fusil, le pistolet et les épées. Pas le choix ! Je l'avais compris pendant ma première nuit passée dans le désert. Un groupe de pilleur avait tenté de nous tuer pour nous voler. Heureusement que nous avions une bonne équipe.

Pendant mon voyage, je n'ai pas servi seulement de traductrice, j'ai aidé aussi au transport du matériel ce qui m'a fait pas mal les bras, oui, je sais, on ne dirait pas, mais ne me cherchait pas ou vous sentirez passer ma force !

Ensuite, nous avons voyagé jusqu'en Chine, j'ai détestais le voyage en bateau qui m'a semblait interminable. J'étais tombée malade et je pensais ne jamais arriver vivante sur la terre ferme. Heureusement, j'ai été forte et je suis arrivée en un seul morceau sur ces nouvelles contrées. Je crois que je n'avais jamais vu de paysage aussi magnifique qu' en chine.
J'ai beaucoup apprécié la mode là-bas, j'ai d'ailleurs ramené quelques tenues chinoises de mon voyage, je me plais à les porter lors de grandes occasions.
Enfin, je ne pense pas que je pourrais un jour remettre les pieds là-bas, l'envie n'y est pas et si j'y retournais, je serais tué. Pourquoi ? Parce que j'ai tué... Oui, je vous assure, et non, je ne l'ai pas fait de mon plein grès. C'était un pur accident en fait, ou pas.... Je vais vous résumer un peu ce qui s'est passé, je n'apprécie pas beaucoup parler de ce moment de ma vie.

C'était lors d'une belle soirée bien arrosée, on fêtait la découverte d'un vestige inestimable qui serait ramené en Angleterre. J'avais accompagné mon équipe en ville pour fêter cela, tous les hommes ( c'est-à-dire toute l'équipe) était complètement ivres, moi fatiguée, je me suis mise en tête de rentrer à l'auberge toute seule. Je n'aurais peut-être pas du, je suis tombée sur un homme qui me viola et je l'ai tué avec une de mes aiguilles à cheveux.

J'ai étais couverte par mon équipe, mais après cela, je ne pouvais plus rester là, alors j'ai pris le premier bateau disponible et je suis rentré en Angleterre. Aujourd'hui, je culpabilise toujours d'avoir volé la vie d'un homme... Enfin bref, je crois que j'en ai déjà assez dit.

Une fois rentrée dans mon pays natal, je suis rentrée chez moi, j'avais l'impression que tout était différent et tellement terne. Je repris mon travail à la librairie, et m'occupais au mieux de ma famille. J'avais ramené une assez forte somme pour agayer la vie de mon foyer. Et puis j'ai posté cette annonce de Nourrice. Un changement presque radical, les enfants ça me connaissait après tout et je savais y faire alors pourquoi ne pas essayer !
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<div class="fd3"><table><tr><td><div class="bot"><center><cita>CARACTÈRE ET TEMPÉRAMENT</cita></center>
Du caractère, il paraît que j'en ai beaucoup, cependant, je suis très mal placé pour parler de moi, alors je vais laisser quelqu'un d'autre le faire à ma place, ne m'en voulait pas.

Mr Figuy : bonjour à tous, je vais tenter de vous parler de la petite Winchester aujourd'hui, je la connais depuis qu'elle est toute petite et je peux vous dire pour commencer que vous ne trouverez pas une femme comme elle partout !

Tous d'abords Mademoiselle Winchester et connu pour sa force de caractère, c'est une personne qui semble ne plier devant personne. Cette force de caractère lui a d'ailleurs causer beaucoup d'ennuis. Elle déteste être contredite surtout quand elle a raison. En fait Lazulis à une fierté assez mal placée. Mais malgré cela, elle reconnaîtra souvent ses torts.

Je me suis toujours dit que la miss montrait une personne qu'elle n'était pas, sans doute à cause des évènements qui ont bouleversé sa vie. Des rumeurs court comme quoi elle n'aurait jamais pleuré, mais croyais moi, je l'ai vue fondre en l'arme à plusieurs reprises dans la remise. Lazulis, c'est une personne avec un cœur gros comme ça, c'est une femme très sensible et très généreuse. L'autre jour, je l'ai encore vu donner son repas à un clochard alors qu'elle n'avait pas mangé depuis la veille.

Quand elle était plus jeune mademoiselle Winchester, c'était retrouvé à plusieurs reprises dans des bagarres et c'était souvent pour protéger les plus jeunes. Mais la seule image qui est ressortie de tout ca était qu'elle était une femme violente. Aujourd'hui, elle s'est beaucoup calmée, surtout depuis son voyage, j'ai l'impression que quelque chose s'est cassée en elle, allait savoir quoi !

Ha, j'allais oublier, j'ai fait une petite liste de ce qu'elle aime et de ce qu'elle n'aime pas, peut-être que cela vous sera utile.

Les préférences de Lazulis : les livres, les enfants, les pâtisseries, les dattes, les pommes, la cigarette.
Ce que déteste Lazulis : le noir complet, les voyages en bateau, les moustiques.</div></td><td><div class="bot"><center><cita>CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES</cita></center>
Taille : 1m 75
Poids : 68 kg
Couleur des cheveux : châtains.
Couleur des yeux : brun foncé.

Lazulis et une femme plutôt grande avec de longs cheveux ondulés châtain. Sa peau est blanche de base, mais elle a pris un peu de couleur à cause de son séjour prolongé dans des pays plus chaud.
Sur sa peau se trouvent quelques grains de beauté comme celui sur le bas de sa joue gauche.

Lazulis n'a pas un corps parfait, c'est normal après un accouchement et après avoir voyagé toutes ses années. Aussi, elle doit avoir quelques cicatrices presque invisibles sur les jambes et les bras.
Malgré son statut social, cette femme a toujours pris soin d'elle, elle tâche toujours de se faire belle et propre. Être négligé serait inacceptable et serait un indice de faiblesse.
Si vous croisez mademoiselle Winchester, vous aurez tendance à dire que son visage et froid et impassible, voir effrayant. Heureusement si vous l'observez un peu plus souvent, vous verrez qu'elle sourit de temps en temps ! Surtout en présence des enfants et de ses proches. Pour le reste du monde, elle tient à garder une image respectable. Son image à été bien trop salie jusque-là et elle ne veut plus faire honte à sa famille.

Des petits détails qui peuvent tout changer ( ou pas ) : les oreilles de Lazulis sont percées, ce serait inconcevable pour une « lady » de ne pas porter de boucle d'oreille. Ça ne se voit pas et ça ne doit pas se savoir !
</div></td></tr></table></div>
<div class="fd3"><center><tl>Dans la vraie vie, je suis...</tl></center>
<k>Quel est ton pseudo ?</k> Anarchette<k>Un mec ou une fille ? </k> Une femme !<k>Quel est ton âge ?</k> 26 ans<k>Comment as-tu connu le forum ? </k> Je suis l'admin d'Aideen ! <k>Un avis dessus :</k> J'addooorrrre votre forum et son contexte !! sinon je ne serais pas là xD<k>As-tu un DC ?</k> Non pas encore<k>Pv/scénario/Inventé ?</k> Inventé !<k>Code de validation :</k> <f>Validé par Félichou !</f>

Code:: <t> Louise Bourgoin</t> → <y>Lazulis Winchester</y>

</div><cr>© plumyts 2016</cr></div></center>

Lazulis réponse de départ :

Spoiler:

Devlin : Bon, sauver une belle en danger, cela n'a rien d'anormal... par contre, que la belle vous flanque son poing dans la figure, c'est autre chose! Devlin se pris le coup que le désiquilibra, un mince filet de sang coula de ses lèvres: "moi aussi, je suis heureux de vous revoir!"
Lazulis le déséquilibra pour le faire tomber, étendue sur lui, tandis que les poursuivantsallaient dans une mauvaise direction: "Euh... Lazulis...je ne suis pas marié mais la situation est un peu... inconvenante."

Laz : * Lazulis laissa un moment de silence en regardant sur le côté pour voir si des policier par là. Elle n'en revenait pas, la situation était juste folle. Puis elle se calma mais resta assise sur lui, ce qu'elle ne disait pas à Devlin c'est qu'elle avait les jambes coupées* - Et bien la situation restera inconvenante encore quelques instants.. Mais qu'est-ce que vous faites là ? vous tombez vraiment de nul part c'est pas croyable.... * elle essuya le sang qui coulait de sa lèvre à l'aide de son mouchoir* est-ce que vous allez bien ? * elle avait le sourire au lèvre, elle avait tellement envie de rire*

dev : "Merci!" Fit Devlin avec un sourire fin! Il est vrai que la situation de pareilles retrouvailles ne manquait pas de piquant. Lui, le détective, paragon de la justice, près à toutes les bassesses pour que ceux qui faisaient appel à lui trouvaient le soulagement, se retrouver à aider une jeune femme qui avait mis une chataigne à un représentant de l'orde. - Pourtant, il était heureux de retrouver celle uqui avait partagé la souffrance d'un voyage en bateau avec lui. - "Je suis assez iinattendu, comme garçon!" Fit-il avec un petit sourire. - "vous semblez apprécier ma reconversion en fauteuil..." Rajoute-t-il.

Laz : * Elle prit un peu de temps mais réussie finalement à se redresser, le bruit des policiers avait cessé . Une fois debout elle défroissa sa robe et lui tendit la main pour qu'il puisse se relever à son tour, elle l'avait salement amoché. Finalement elle éclata de rire, il avait toujours cet humour Devlinesque* - Et bien en effet votre reconversion était plutot confortable. Dites moi vous comptez reprendre votre chemin ou? ... parce que j'imagine que rester ici n'est pas une très bonne idée... Après je ne sais pas trop où aller pour le moment maaiis... je vais improviser ! oh et puis zut, vous me suivez ? cela faisait tellement longtemps !

Dev : Il saisit la main tendue mais il força sur ses propres muscles pour se relever afin de ne pas faire tomber Lazulis. "Ma foi! Vous avez une sacré droite! Je comprnd que notre ami de la maréchaussée vous en veuille particulièrement!" Il s'épousseta et décida que la barbe et les prothèses en mousse étaient désormais de trop. Il considéra la jeune femme joyeuse avec attention. - pas d'inquiétude sur son visage. Au contraire, elle semblait prendre un pied incroyable! Il est vrai que tout cela était drôle! "Vou avez raison! Le quartier n'est pas sûr: il grouille d'hommes en uniforme!" - Autant profiter du moment!

Laz : - Et bien j'ai eu l'occasion de m'entraîner pendant mes voyages ! il l'avait bien mérité, porter la main , enfin je le considère ainsi, sur un enfant, est juste intollérable ! Vous voilà beaucoup mieux * elle vint lui donner une petite caresser sur la joue et lui fit un clin d'oeil* - et vous que faisiez vous déguisé ?

Dev : "J'enquêtais... ou plus précisément, je revenais d'une enquête qui m'a pris toute la nuit.... par ici" Fit-il en prenant le bras de Miss Winchester et partant dans les rues d'un pas rapide... un peu sans trop demander son avis à la jeune femme: "J'allais rentrer chez moi lorsque.
"... je vous ai vu adresser vos sincères salutations à ce policier..."

Laz : *elle se laisse entrainé, heureuse de l'entendre raconter ses aventures* Je vois, le destin nous a réunis ? qu'en pensez vous ? * elle le fait lâcher d'un coup sec et vient s'accrocher à son bras* vous devez être épuisé ! pauvre de vous, ... je suis désolé pour le poing que je vous ai mis au fait, si j'avais su... vous savez ou vous nous emmenez ? * elle regardait à droite puis à gauche, haaa ses pieds elle n'en pouvait plus* Attendait * elle s'arrêta quelques instants et finie par hauter ses chaussures qu'elle prise dans sa main droite. Son bras gauche revint se glisser au bras de Devlin* - Désolé pour ses manières mais je n'en peux plus. * en effet ses pieds était littéraement en sang, surtout après cette course, chaussure de merde*

Dev : "Tenez bon, encore 3 rues!" Fit Devlin, constatant l'état d'épuisement de la pauvre jeune femme. Il est vrai que s'il y avait bien une personne qu'il ne s'attendait pas à revoir, c'était bien Lazulis. -
Il s'arreta devant une porte d'une maison de ce pauvre quartier, sortit une clé et l'ouvrit : "c'est une de mes planques, qui me sert de logement occasionnel." Il ferma la porte derrière lui!

Ha les rues pavées et sa crasse ! Ses petits cailloux et ces trucs qui se plantent dans le pied. Rien de bien grave ! Elle préférait cela au fait de devoir remettre ses bottines qui l'avaient torturée .Lazulis ne s'en plaignit pas une seule seconde, elle resta accrochée au bras de Devlin. Bien sûr ils n'étaient pas passés inaperçus, drôle de couple.

- et bien, voilà une nouvelle surprise, vous en avez d'autres ?

Elle eut un petit rire et entra en sa compagnie dans la demeure.

- heureusement que vous possédez ce genre de ressources , je ne sais pas trop où j'aurais put aller après ce que j'ai fais,vous tombez à pique.

Elle retira son bras de celui de Devlin et posa ses chaussures et son sac à l'entrée. C'est là qu'elle soupira en comprenant qu'elle avait perdue son paquet. Les choses avaient sans doute du se calmer mais il était certain que son colis était le propriétaire de quelqu'un d'autre actuellement.

C’était un peu comme si elle était sortie pour rien. Enfin elle ne regrettait rien vu qu'elle avait croisé Devlin.

- Monsieur Stanton, puis-je me permettre de vous demander si vous avez un quelconque récipient pour que je puisse m'occuper de mes pieds ? Oh et du désinfectant et quelques pansements ou bandage ne seraient pas de trop pour que je puisse penser vos blessures.

Dev : Le petit appartement était assez simple , une table, une chaise, un lit, constitué les seuls mobilier .Devlin tira la chaise pour inviter Lazulis à s'asseoir.

- Ma pauvre vous êtes bien mal en point.Allez asseyez vous je vais vous trouver ça.

Il alla ensuite à un petit placard sous l'évier, en sortit une bassine. Qu'il posa à côté de Lazulis.Avant de recommencer à fouiller et sortir les bandages ainsi qu'une bonne bouteille de whisky.
S'emparant d'une jarre métallique, il dit dit d'un air joyeux :

- Je vais allé chercher de l'eau, je reviens.

Avant de sortir et d'aller au puit du coin.

Lazulis se laissa entraîner jusqu'à la chaise la plus proche et s'y installa. Oh que c'était bon de poser ses fesses sur quelque chose ! Elle le remercia d'un sourire et le suivit du regard pour voir ce qu'il faisait. Après l'avoir observé quelques instants, elle regarda l'état de ses pieds. Elle était légèrement écorchée au talon, aux orteille et aussi sur le dos de son pieds, la peau était très rouge et cela saigné à quelques endroit. Bouarf, elle avait connu pire, c'était juste désagréable.

- Vous êtes bien aimable avec moi ... Alors que je vous ai décoché une droite en plein visage, je vous en remercie, c'est toujours un plaisir de vous côtoyer Devlin.

Elle eut un sourire amusé en voyant la bouteille de Whisky qui servirait sans doute de désinfectant.
En attendant son retour et comme elle ne tenait pas en place, elle décida de faire le tour de la pièce. Il n'y avait rien de bien folichon, après tout, c'était une planque et non son lieu d'habitation. Une fois l'homme revenu, elle vint l'aider à porter le seau d'eau en lui prenant celui-ci des mains.

- Merci.

Elle lui fit un clin d'œil, apporta le sceau prêt de la chaise où elle était assise et se réinstalla, il pouvait bien faire le rester ! Elle avait envie qu'il la chouchoute. Elle s'occuperait de lui par la suite de toute façon.

- Qu'avez-vous fait pendant toutes ses années où nous ne nous sommes pas vus ?

Devlin : de retour après avoir rempli son sceau, Devlin fut le premier surpris, de voir la jeune femme l'aider aussi promptement.

Tout de même une très étrange coïncidence de revoir une personne qui l'avait tant marqué. Elle avait toujours cette désinvolture et cette fascinante manière de prendre la gravité à la légère.

- J'ai continué mon travail mon travail de détective encore et toujours après un très pénible voyage de retour. Et dernièrement je me suis encombré d'une pupille. Comme quoi le masochisme à de belle heures devant lui.

Fit-il avec un petit rire.

Il versa de l'eau dans la bassine. Délicatement il prit le bas d'une jambe de Lazulis pour poser le pied dans la récipient. Et fit de même avec la deuxième jambe. Il commença à lui nettoyer les pieds. Prêt à balancer "faites pas votre chochotte" au moindre geste.

- Et vous donc et ce voyage en Chine ?

Lazulis n'en attendait pas tant de monsieur Staton, elle le regardait prendre ses pieds et les mettre dans l'eau avec un regard plein de surprise. Personne n'avait encore jamais fait ça pour elle, elle avait vraiment du mal à comprendre ce geste. Et du coup, elle se sentait un peu prise au dépourvue.

- Euh ...

Soit si c'était comme ça qu'il voulait prendre soin d'elle, elle l'acceptait. Elle se serait contentait qu'il verse simplement l'eau dans la bassine, mais ceci était encore mieux.

- C'est vrai que vous n'aviez pas l'air de supporter beaucoup le voyage en bateau, vous étiez dans un de ces états.

Elle mit un temps à réagir, mais elle avait bien entendu ? Il avait une enfant avec lui ? Était-il père ? C'était plutôt étonnant et pas si étonnant que ça à la fois. Après tout un homme comme lui ne devait pas avoir beaucoup de difficulté à trouver une femme et donc avoir un enfant, mais ça devait-être un peu plus compliqué, vu qu'il ne parlait que de l'enfant.

Devlin, il avait toujours le chic pour la faire rire et sourire, ils étaient rares les hommes de cette trempe de nos jours.

- Une pupille ? Vous êtes père ? Et bien, c'est une grande nouvelle ? Félicitation ?

Un des sourcils de Lazulis c'était arqué, elle était encore dans ses pensées en train de se demander d'où pouvait bien provenir cette " pupille".

Alors qu'elle allait grimaçait à cause du désagrément de l'eau sur ses plaies, elle devint tout à coup stoïque face à la question de l'homme.

- Et bien.... Comme vous, très désagréable, je ne sais pas comment je suis arrivée en vie à Londres, vraiment.

Elle n'en dit pas plus sur son voyage, non pas la peine de repenser à ça.

Devlin rigola à la mention du fait qu'il avait été malade, comme dite par une personne qui elle, c'était porté comme un charme. Secouant légèrement la tête aux souvenirs des deux qui décidément avaient fait des bateaux leurs pire ennemis.

Lorsqu'elle fit référence à un enfant il éclata à nouveau de rire. Décidément Lazulis faisait partie des rares femmes qui arrivaient à le mettre de bonne humeur.

Il planta son regard ambre dans celui de la jeune femme avec un sourire quelque peu espiègle.

- Très cher Lazulis, vous connaissez vraiment une femme qui serait capable de me supporter ne serais-ce que 9 mois ? Ma pupille est en fait la fille de mon cousin que j'ai accepté de prendre en charge.

Il remarqua que l'attitude de Lazulis changea radicalement à l'évocation de son voyage en Chine. Signe que tout évidence les choses ne semblait pas s'être si bien passé que cela.
D'un coté sa part de détective aurait aimé s’enquérir de l'histoire de l'autre son côté galant lui intimé de ne pas insister. Si elle voulait en parler, ça serait d'elle même . Ou pas .
Néanmoins, l'évocation de la Chine lui rappela quelque chose. Il fouilla dans la poche intérieur de sa veste et en exhiba un paquet bien particulier.

- Oh je crois que lors de votre petite promenade vous avez égaré ceci.

Laz : C'est vrai que Devlin avait un caractère bien particulier. Ce que cherchaient les femmes en générale était loin de ce que pouvait représenter cet homme. Mais bon pour elle, Devlin était un homme vraiment très charmant qui méritait toutes les faveurs des femmes. On ne pouvait pas s'ennuyer avec lui.

Comme il n'insistait pas plus sur le voyage en Chine en repris sur le sujet précédant.

- Ha... Mais je n'en aurais pas douté une seule seconde ! Vous pourriez trouver ce genre de femme, si elle n'était pas toute fragile et… Comment dire... Vous savez, du genre à s'offusquer pour un rien ? Alors qu'est-ce que ça fai...

Elle stoppa net sa phrase en voyant le paquet qu'il venait de sortir de sa poche, non, c'était une blague, il l'avait vraiment récupéré ? Mais il tombait vraiment du ciel ?

- Comment avait vous fait ? Je n'en reviens pas ! Je pensais l'avoir perdu pour de bon ! C'est vraiment fantastique !! Merci Devlin.

Elle posa le paquet sur les jambes de Devlin en attendant.

Elle était tellement heureuse de ce geste qu'elle en avait oublié de le vouvoyer. Ses yeux pétillaient cette fois, et ce n'était pas du tout à cause de son regard, on ne peut plus charmant qu'il lui lancé.

- J'ai l'impression d'être une princesse d'un de ses romans.. Vous savez.. Sarah ? On me sauve, on prend soin moi... Vous êtes un prince sorti de nul part, c'est cela ?

La brune récupéra ses pieds qu'elle laissa trempé dans l'eau. C'était rafraichissant, mais ne resta pas longtemps comme ça, elle se leva et tira Devlin par le bras pour le mettre à sa place.
C'est à mon tour de m'occuper de vous, mais avant elle attrapa la bouteille de Whisky et fouilla dans un placard à proximité où elle trouva un verre. Elle en remplit le contenu avec l'alcool et le tendit à Devlin.

- Cela devrait vous faire du bien !

En marchant sans s'essuyer les pieds, elle mit de l'eau partout, quand elle s'en rendrait compte, elle nettoierait derrière elle. Mais pour l'heure, elle mit un peu de Wishky sur les bandages pour venir tapoter le tissu sur la peau blessée du visage de Devlin, que ça pique ou non, elle aussi lui dirait de ne pas faire sa chochotte !

Devlin fit de légère grimaces au contact du tissus imbibé de whisky, lorsque l'opération fut achevé, il but une gorgée du précieux breuvage qu'il avait dans son verre.

- Grand dieu les princes ne sont plus ce qu'ils étaient, je pourrais vous dire à propos du paquet que je me suis baissé parce qu'il était par terre afin de le ramasser ou je pourrais vous dire que vous ayant vu vous entraîné à la boxe avec notre ami policier j'avais décidé de vous suivre et vu effectivement ce paquet tomber durant votre course. En fait, les deux réponses sont exactes. Sans indiscrétions, ce sont des plantes médicinales chinoises ? Et j'espère que vous n'êtes pas souffrante ?

Il est vrai que cela l'aurait beaucoup embêté de savoir Lazulis souffrir de quelque maladie.

Lazulis : - Vous êtes tous simplement incroyable, il n'y a rien d'autre à dire ! ha.. ca ? …. Les plantes sentent aussi fort ? … Pourquoi est-ce que je ne suis pas étonnée que vous en connaissiez le contenu sans même y avoir jeté un œil ? Parce que oui, vous êtes beaucoup trop gentleman pour ouvrir le colis d'une dame telle que moi... Ou alors vous ne l'avez tout simplement pas ouvert à cause de la précipitation.. Ça va ? Je ne vous fais pas trop mal, j'espère.

Elle faisait sa dure, mais elle s'inquiétait tout de même un peu, ce n'était pas dans son but de lui faire du mal et elle regrettait vraiment de l'avoir blessé. Du coup, elle faisait très attention et resté délicate quand elle désinfectait ses plaies.

- Oh... Vous vous inquiétez pour moi ? C'est vraiment adorable de votre part ! Mais rassurez-vous je ne souffre de rien du tout, sauf peut-être d'un peu de folie ! Surtout en votre présence.

Elle eut un rire on ne peut plus franc, sa face stoïque avait disparut très vite à cause de la bonne humeur de l'homme.

- En fait, c'est pour moi père, je crois qu'il n'en a plus pour très longtemps et j'aimerais pouvoir alléger ses souffrances d'une quelconque façon.

En finissant sa phrase, elle finit de nettoyer le tout et décida d'allait poser le tout sur le plan de travail non loin de là. Fatale erreur, elle avait oublié le sol qu'elle avait mouillé d'elle-même et se vautra littéralement en arrière, se cognant très brutalement la tête contre le sol... Et puis c'était le noir complet.

Dev : Si Devlin par dela le 4 ieme mur au Etat Unis sa première exclamation aurait-été " non pas le procès". A la chute de Lazulis.

En fait Devlin avait tant de questions à poser sur ce don souffraient le père de Lazulis, sur le fait de savoir en quoi sa présence pouvait rendre fou. Bien qu'il eût quelques éléments de réponses. Hélas, la glissade coupa court à toute possibilité de questions. Devlin tenta de se précipiter pour rattraper la pauvre jeune femme. Une de ses mains parvint à saisir la manche qui hélas tissus à bas prix se déchira.

Ne pouvant empêcher la jeune femme de s'assommer tout naturellement, il se précipita pour l'examiner et se rassura qu'elle ne s'en tirerait qu'avec une belle bosse. Qu'heureusement, ses cheveux cacheraient.

Délicatement, il l'a pris dans ses bras afin de la porter sur le lit, puis mouilla un bandage avec un peu d'eau pour tapoter délicatement son joli visage.

- Alala après on dira que je les fait toutes tomber.

Laz : Lazulis n'eut pas le temps de ressentir la douleur sur le coup forte heureusement. Elle resta environs jusqu'à la tombée de la nuit inconscience. Ce fut un bruit non loin d'elle qui la réveilla, aussi infime soit-il. Elle se redressa et se rendit compte que l'arrière de sa tête la faisait souffrir, elle frotta l'endroit en question et grimaça. D'un regard, elle balaya la pièce, tout était clair dans sa tête, elle parlait à Devlin et c'était vautré comme une grosse cruche.
- Devlin ?

Devlin resta longtemps au chevet de la jeune femme, devinant qu'elle en aurait pour plusieurs heures. Du moins si elle n'était pas tombée dans le coma. Il vérifia dans sa petite armoire à provisions s'il avait bien pensé à ravitailler ; forte heureusement, l'homme était prévoyant. " Pauvre enfant" songait-il. Il repensait aux évènements de la journée et aux paroles échangées. Après avoir mangeait quelques tranches de jambon sec, il décida de fumer une bonne pipe. En compagnie d'une jolie jeune fille à la robe déchirait une bonne pipe, quel pied. Mais ne nous égarons pas. Le soir commença à tomber lorsque la belle au bois dormant se releva brusquement appelant avec toute l'étendue de son dessespoire, l'homme qui !!! n'exagérons tout de même pas.

Devlin, tranquillement, assit sur sa chaise posa le callepin sur lequel il prenait des notes et se releva dans un :

- Calmez vous je suis là.

Il se relève pour aller vers Lazulis et de ses mains sur les épaules de la jeune femme, doucement la faire se recoucher.

- Ce n'est pas bon de se relever trop brusquement.

Oh quelle honte, quelle honte ! Lazulis se sentait tellement honteuse de la situation. Elle se laissa se rasseoir sans broncher et prit son propre visage entre ses mains. Comme si de cette façon, elle aurait pu se cacher de Devlin, c'était grotesque, elle aurait voulu que cette situation très gênante n'arrive jamais.

- Mais quelle andouille, quelle.. Idiote ! Comment ai-je pu... Mais.. c'est tellement absurde ! Je n'en reviens pas, la nuit est déjà tombée en plus.

Elle retira ses mains de son visage pour allait se tâtonner le bras nerveusement pour se rendre compte qu'il manqué un bon morceau de tissu. Elle se figea, non ce n'était juste pas possible. Sa manche ?

Elle baissa la tête pour vérifier par ses yeux l'état de son vêtement le plus précieux. Il était déchirait... C'est un regard en colère et très rageant qu'elle lança à Devlin. Mais cela ne dura que quelques secondes. Elle ne lui en voulait pas et puis si ça se tombe, il n'avait rien à voir avec cet incident-là. C'était la fatalité, elle n'aurait cas économiser une nouvelle fois pour se racheter une nouvelle tenue.

Mon cher, ne me dite pas que vous.. Êtes resté ici tout le long ?

Vu l'odeur de tabac, c'était sans doute le cas. Elle s'en voulait, elle avait dû lui faire perdre son temps comme jamais. De là, elle vint prendre les deux mains de Devlin et les serras fortes dans les siennes. Jamais au grand jamais personne ne, c'était occupé d'elle de cette façon... Elle était émue comme jamais. C'était peut-être le coup sur la tête qui lui faisait ceci, mais... Elle en avait les larmes aux yeux et ça, elle ne le montrait en générale à personne ! Sa fierté s'était évanouie après sa chute de toute façon... Alors au point où elle en était à quoi bon essayé de retenir ses larmes.

Devlin serra les mains de Lazulis entre les siennes la regardant avec une expression apaisante.

- Allons allons séchez moi donc ces larmes mon petit.

Se souvenant du regard incendiaire lorsqu'elle réalisa que sa robe était fichue, il rajouta :

- Je suis vraiment navré pour votre robe. Je me ferais un devoir de vous en offrir une autre. C'est arrivé lorsque j'ai essayé de vous rattraper.

Tout son visage montrait effectivement qu'il était désolé d'avoir ainsi malmené le vêtement de la jeune femme.

Laz : Son petit ? Il devait-être à peine plus vieux qu'elle, enfin, c'est ce qu'elle supposait. Enfin, c'était juste encore une fois qu'elle n'avait pasl 'habitude qu'on lui parle de cette façon.

- Moi pleurer ? … mais vous devez rêver.. j'ai juste trop chaud, je transpire des yeux... Oui, je sais ce n'est pas courant... Et puis pour la robe n'y pensais même pas ! Elle ne sera jamais assez bien pour moi , ca vous pouvez me croire.

En réalité, c'était juste une question de fierté, même si c'était Devlin qui avait endommagé son bien. Si elle n'était pas tombée cela ne se serait jamais passé. D'ailleurs est-ce qu'il allait bien. Elle le regarda de haut en bas pour voir s'il n'avait pas une blessure de plus. Tout avait l'air d'aller bien, en tout cas ce n'était pas pire qu'un peu plus tôt.

La jeune femme se remise assise sur le lit et effaça sa transpiration de ses yeux d'un geste de main. Il était tard et elle n'allait pas rester coucher ici éternellement.

Devlin pencha la tête légèrement de côté avec un grand sourire.

- Effectivement, je dois vous présenter à un médecin ça doit être grave.

Il secoua avec un " tututu"

- Il est hors de question que je ne vous rembourse pas cette robe par une autre robe. À moins que vous ayez l'intention de me tuer pour m'en empêcher, je vous dédommagerais cette robe par une autre robe et vous invite pour ses retrouvailles à un dîner, du moins avec l'affaire de votre père réglé.

En effet, il y avait une urgence de soulager son père aux yeux du détective, mais cela ne l'empêchais pas de vouloir profiter comme il se doit de ses retrouvailles inattendu.

Laz : Elle n'en revenait pas, il était vraiment en train d'insister là ? ….

- Attendez vous êtes sérieux là ? … Enfin, je n'ai pas envie de vous tuer, se serait du gâchis, mais, je ne compte pas me faire rabaisser de la sorte ! Je suis peut-être pauvre, mais je suis totalement capable de me racheter une toilette, vous en doutez ?

Elle était à présent à quatre pattes sur le lit et le visage très proche du sien à le regarder droit dans les yeux, un regard rempli de défi.

- Cependant pour le dîner, j'accepte volontiers, il serait dommage que nos routes se séparent aussi vite.

Son visage était presque à la limite de toucher celui de Devlin, elle respira contre sa joue puis se recula et descendit du lit pour atterrir sur ses pieds.

- M'accompagnerez-vous jusqu'à mon humble demeure le temps que je dépose le paquet ? Et que je vois ou en est la situation ?

Leurs visages si proches, le parfum agréable de la jeune femme, la situation était.... Très intéressante.

Il aurait pu être tenté de se laisser aller, mais il préféra se retenir.

Lazulis était une femme très attirante et cet élan de fierté quelque peu exagéré la rendait encore plus fascinante aux yeux d'un homme qui voyait les femmes de bonne famille aussi ennuyeuse qu'une pluie d'automnes.

- Je mets ne met pas en doute vos capacités financières miss Winchester , mais tout dommage mérite dédommagement.

Il avait tout de même un doute sur les capacités financières de Lazulis. Mais ne tenait pas à le montrer. D'autant plus qu'une robe en soie chinoise et certes trouvable à un prix modéré en Chine, mais ici à Londres est un produit de luxe. À la proposition de l'accompagner.

- Vous sentez vous capable de marcher ?

Cette question était une invitation implicite à y aller. Intérieurement, il était en joie qu'elle est acceptée de dîner avec lui.

Laz : Une fois debout, elle défroissa un peu sa robe et fini par replonger son regard dans le sien. C'était une bien belle surprise qu'il accepte de l'accompagner, en fait, elle ne s'y attendait pas du tout. Qu'allait dire sa famille ? Bof peu importent, elle était assez grande pour faire ce qu'elle voulait après tout. Il était temps qu'elle trouve un travail pour pouvoir vivre sa propre petite vie.

- Je crois qu'on va avoir du mal à s'entendre sur ce point... Mais nous en reparlerons, pour l'heure allons y , je crois que mes pieds sont assez solide pour faire un dernier petit chemin... à moins que.

Elle sortit de la pièce et prit les bandages avec lesquels, elle banda ses pieds, ainsi, elle n'aurait presque plus mal. Elle se dirigea ensuite vers l'entrer ou elle enfila ses bottines. C'était très douloureux, mais elle ne le montrerait pas. Elle remit aussi son couvre-chef sur la tête et reprit son sac en attendant Devlin.

Dev : Devlin observa effectivement la jeune femme avait encore assez mal aux pieds. Se relevant, il prit tranquillement son manteau ainsi que son chapeau et s'emparant de la lampe à pétrole posé sur la table se rapprocha de la jeune femme.

- Je crois qu'un fiacre s'impose. Heureusement, j'en ai un sous la main.

Fit-il avant de souffler pour éteindre la lampe.

Il ouvrit la porte de la demeure invitant Lazulis à sortir, posa la lampe sur un établi à l'entrée et referma la porte. Portant ses doigts à la bouche, il siffla et un fiacre d'allure modeste tourna au coin de la rue et s'arrêta devant eux. La chose la plus fascinante du dis engin était que le conducteur devait avoir à peine 11 ans.

Gamin : - Ou qu'vous emmene.
Fie le gamin.

Laz : Un fiacre ?
Le temps qu'elle réalise celui-ci était déjà arrivé. Comment avait-il fait ? Ha oui, c'est vrai elle avait dormi un certain nombre de temps... Mais cela n'expliquait pas le fait que ce soit un enfant qui conduisait le fiacre... D'ailleurs, cet enfant. Elle se rapprocha de très prêt et le reconnu direct.

- Mais vous êtes ??? … Est-ce que vous allez bien ??? Mais qu'est-ce que vous faites au renne de ce fiacre ?

Qu'est-ce qu'elle était soulagée, les policiers n'avaient pas rattrapé ce jeune homme et il semblait bien allé.

- Devlin, vous réduisez les enfants en esclavagisme ?

Elle fronça les sourcils et vint lui tirer l'oreille, pas trop méchamment, elle ne pensait pas qu'il avait un lien malsain avec le gamin, ce n'était pas quelqu'un de mauvais après tout. A moins qu'il ne le cache très bien.

- Jeune homme j'espère pour vous que monsieur Stanton ne vous fait souffrir d'aucune façon, si c'est le cas, venez me trouver à la librairie Majo ! Je me ferais un plaisir de venir lui casser une ou deux jambes si c'est le cas...

Elle grimpa sur le fiacre et vint prendre le petit contre elle , contre sa poitrine pendant un instant. Elle était tellement soulagée. Puis elle redescendit et ouvra la porte du fiacre elle-même. Mais qu'elle inconvenance !

Dev : Aux paroles de Lazulis Devlin et le gamin éclatèrent d'un rire joyeux. L'enfant répondit à Lazulis :
- Foutre de bique morte ! zba la première fois qu'on m'vouvoie comme si jté noblio ! Zinquiétez pas m'mazelle j'vais bien . Bin qu'sa sré bin marrant d'vous voir estropier l'Stanton.

Devlin ne fut pas étonné de voir la jeune femme enlacer l'enfant, par contre redescendre pour ouvrir elle-même la portière sa galanterie en prenait un coup, mais ce n'était pas grave. Au moins, il savait où il pouvait la retrouver sur son lieu de travail, information à retenir.

- Lazulis permettez mois de vous présenter Albert et rassurez vous il n'est nullement en esclavage avec moi. Ce jeune homme fait partit des irrégulier et je le paye grassement pour ces services.

Albert : - D'ailleurs zoubliez pas la tourte que vous avez promis.

À ces mots, il monta dans le fiacre après Lazulis qu'il laissa passé en premier par galanterie.

Une fois qu'ils furent montés, ils entendirent un :
- Au fait, j'reste sur place où vous m'donnez l'adresse ?

Laz : Elle sourit en réponse à leurs rires et grimpa dans l'engin. Puis en entendant le gamin demander elle sortie la tête de la vitre en se penchant au-dessus de Devlin pour lui donner l'adresse de sa maison, puis se remise correctement aux côtés de Devlin.

- Vous êtes décidément remplie de ressource inattendue, je, vous voyez faire le chemin à pieds et je m'y étais préparé !

Après avoir donné l'adresse, le fiacre pris la route et on peut dire que cela secoué et pas qu'un peu. Lazulis se tint à ce qu'elle put et la première chose fut Devlin. Elle s'accrocha à son bras sans hésitation et tin son chapeau de son autre main. C'était vraiment drôle, elle ne c'était pas autant amusé depuis si longtemps. Elle ria de plein cœur et s'accrocha plus vivement au bras de Devlin en se pressant contre lui, elle en oublierait presque qu'elle se rendrait au chevet de son père.

Dev : Pour une fois Devlin apprécia la conduite très sportive d'Albert. Il avait un grand sourire sous les chaos et les virages sérrés du gamin. Et regarda Lazulis en disant :

- J'ai fait appel à ses services pendant que vous étiez inconsciente. Je me doutais que vous auriez eut quelques difficultés à marcher, donc j'ai préféré opter pour cette solution. Mais j'ai oublié que survivre à la conduite d'Albert était un exploit.

Complaitat-il en riant.

- Mon vieux dos va finir broyé.

Le fiacre arriva à destination non sans un farinage brutale qui jetas les deux passagers sur la banquette d'en face. Devlin rattrapa néanmoins Lazulis dans ses bras. Et clama :

- Albert, tu es un fou meurtrier !

Laz : Alors qu'elle allait lui répondre une petite blague bien placé le fiacre s'arrêta d'un coup et ils volèrent tout les deux de l'autre côté. C 'était pas croyable, mais qu'elle journée, si on lui avait dit qu'elle vivrait de telle aventure à Londre, elle ne l'aurait pas cru !
Pendant la chut son chapeau tomba et Devlin qui rattrapa Lazulis marcha accidentellement dessus... ce qui le réduisit en miette... Ca plus la robe, elle allait se retrouver comme une mandiante à la fin de la soirée !
Par reflexe et sous l'adrénaline elle prit la joue de Devlin au creu de sa main et tira son visage vers elle pour lui donné un tout légé baisé sur le bout des lèvres. Ce n'était que les représailles de ce qui allait suivre. Elle avait bien vue son chapeau se faire broyer sur ces pieds.

Je m'excuse de mon language qui va vous sembler grossier...

Son ton était très calme.

Mais vous avez décidez de me faire chier ?
Elle éclata de rire et se frotta le visage, bon sang, qu'elle journée, elle s'amusait mais le prix pour pouvoir être avec cet homme était cher ! Un chapeau et une robe hors de prix. Pas de chance.

Je crois que nous sommes arrivé...

Elle reprit le chapeau et ses affaires et sortie. Une fois dehors elle attendit Devlin pour lui faire les gros yeux.
Si vous avez le malheur de me dire ce que je pense que vous allez dire... les menaces que j'ai fait à propose de vos jambes un peu plus tôt ne seront plus de simple menace.

La maison de Lazulis était dans une ruelle de pauvre, c'était rien de luxueux . Les lumières semblaient être allumé à l'intieur, quelqu'un, une jeune femme vint accueillir Lazulis, elle semblait pressé et resta figé un moment sur Devlin, elle ne chercha pas d'explication immédiate.

- Dépêche toi, papa à besoin de toi.

Lazulis fit un signe de tête à Devlin pour qu'il les suive. Ici les bonnes manières n'étaient pas de rigueur, mais Devlin comprendrais sans doute.

Lazulis attendit que Devlin soit à sa hauteur pour le laissé passer en premier. C'était une maison .
Quand les trois rentrèrent dans la maison 5 autres personnes étaient là, c'était les frères et soeur de Lazulis, plus jeune qu'elle, il la regardèrent surpris mais restèrent silencieux face à Devlin. Quoi que Devlin eut quand même le droit à quelques bonjours très discrès. La petite soeur de Lazu qui était venu la chercher l'emmena dans une autre pièce ou le père était Alité, en effet il semblait souffrir énormement. Lazulis soupira, il semblait qu'elle ne ressente rien du tout. En fait elle gardait tout simlement son sang froid et retourna dans la pièce précedente pour faire bouillir les herbes.

- Les enfants, vous feriez mieux d'aller tous à son chevet...je vous expliquerait tout mais pour l'heure le plus important c'est papa.

Les lèvres de la jeune femme étaient des plus agréable et provoqua une légère accélération cardiaque ( Devlin est un grand cartésien) bien que le constat d'un chapeau détruit ne lui fit que suggérer qu'une seule phrase:

- En fait je crois qu'il faudra que je refasse toute votre garde robe.

Il suivit Lazulis et une personne dont la similitude des traits du visage lui permit de présumer qu'il s'agissait de sa sœur. La demeure familiale était modeste, cela allé sans dire, mais bon vu comme Devlin était sapé il ne pouvait pas se permettre de faire le difficile. A l'intérieur de la demeure il sentit tout de suite l'ambiance pesante né de l'inquiétude des gens présent pour l'homme alité. Lazulis et sœur s'absentèrent laissant Devlin avec les autres membres de la famille, mais l'heure n'était pas à la rigolade. La jeune femme revint et commença sa préparation en enjoignant sa flatterie de se rendre au chevet de leur père. Il s'approcha de la jeune femme en train de préparer les herbes et demanda d'une voix grave :

- Sans indiscrétion de quoi souffre t-il au juste ?

Dev : Lazulis resta un moment silencieuse tout en laissant l'infusion prendre et prit un bol pour en verser le contenu. L'odeur que dégagé la boisson n'était pas très alaichante.
Et bien il souffre de sa propre bétise.... Disons que l'alcool l'aura tué...
Elle restait sérieuse, c'était presque flipant de la voir comme ça. Mais une fois qu'elle eut étein le feu elle regarda Devlin avec un sourire.

- ca va aller, il tiendra encore quelques jours ! J'ai juste demandé à mes frères et soeurs d'aller le voir pour qu'ils arrêtent de vous dévisager ainsi, est-ce que tout va bien pour vous ? Je suis presque désolé de vous avoir embarquer dans une tel situation mais je suis heureuse de vous avoir prêt de moi bizarrement. Devlin si vous ne le sentait pas, vous n'êtes pas obligé de rester, je le comprendrais parfaitement. Je pensais pouvoir repartir directement mais je crois qu'on me détesterais si c'était le cas. Je vais en avoir pour un maximum d'une heure, le temps que le breuvage fasse effet. Alors je vous invite à prendre place sur une chaise et à faire comme chez vous.

Elle rentra dans la chambre avec le reste de la famille et aida son paire à boire le remède qui le droguait tout simplement pour enlever les effets de la douleur. Elle ressortie une heure plus tard avec ses frères et soeur et s'approcha de l'homme s'il était encore là. Il n'était pas mort pas encore.

- Désolé de vous avoir fait attendre, ca va aller maintenant.. du coup je vais faire les présentation, Devlin je vous présente ma petite famille.

Elle pointa chacun leur tour ses frères et soeur .

- George, Lawrence, Maggie, Arthur et Leslie. Tout le monde je vous présente monsieur Stanton, il a eut l'amabilité de me sauver aujourd'hui alors que j'étais poursuivie injustement par les forces de l'ordre...

La petite famille le saluèrent encore. Un des plus grand george se détourna et sortit de la maison en claquant la porte, les filles avaient des étoiles dans les yeux et Maggie la plus jeune s'exclama :
Maggie : - c'est ton filliancé ?
Lazulis : - Tu as fini de dire des bétises ? Monsieur Stanton est beaucoup trop...

Lazulis le regarda et rigola, c'est vrai qu'habillé comme ça il ne faisait pas vraiment de la haute.

Lazulis : - Oui bon laissez tomber, c'est un ami.... Et si cela vous vas nous allons pouvoir partir de ce pas, n'est-ce pas ?

Demanda t-elle en regardant le beau gentleman rapiécé.

Dev : À l'explication de la maladie Devlin que l'homme souffrait de sirose. En effet, une maladie incurable. Il eut un grand sourire dans un :

- Si cela ne vous dérange pas, je n'ai point l'intention de partir.

Il resta donc assit sur la chaise examinant avec minutie son environnement, s'attardant sur chaque détail pendant une heure. Lorsque la famille revint, il se leva et s'inclina respectueusement devant chacun. Avec un enchanté à chaque fois. À la question de la petite soeur Devlin releva un sourcil et eut un petit sourire mi-poli mi-réservé. Certes, un peu trop tôt pour un tel qualificatif, mais ce fut bien la première fois où il n'eut pas l'envie de s'enfuir en courant.

Il rigola en constatant que sa mise n'était pas en rapport à son statut social et dit avec une légèreté, tout en étant respectueux de la gravité de la situation :

- Nous pouvons y aller quand vous voulez.

Il ouvrit la porte pour laisser passer Lazulis d'un geste galant et tout deux rejoignèrent Albert qui ne put s'empêcher de poser la question très discrète.

Albert : - Zavez fait quoi à la't gars là pour qui's carapate comme ça ?

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