Devlin et Lazulis

Laz : Lazulis s'accrocha naturellement au bras de Devlin et rigola en entendant Albert.

- Et bien George est comme ça, on va dire qu'il n'apprécie tout simplement pas la présence de la gente masculine à la maison, rien de bien inquiétant.

Elle s'attarda un peu moins au prêt du jeune homme et laissa cette fois Devlin ouvrir la portière de la voiture, elle le suivit à l'intérieur et s'installa à côté de lui. Là, elle ne savait vraiment pas où ils allaient aller, Devlin dirigeait les opérations. Et quand il eut fini de demander la direction, elle se laissa aller contre lui en soupirant. Cette situation n'était pas facile même si son père l'avait clairement cherché.

Après un petit bout de chemin parcourut Lazulis regarda ses jambes et puis regarda vers Devlin.

- Peu importe où nous allons, mais.... Je ne suis pas sûr que ce soit une très bonne idée d'y aller habiller de la sorte ?

Dev : Devlin eut un grand sourire à la remarque de Lazulis et lui dit :

- Oui, vous avez parfaitement raison. C'est pour cela que nous allons tous d'abords à une autre de mes planques où je sais que nous pourrons trouver une robe qui devrait vous convenir et des vêtements pour moi.

Lazulis put constatée aisément qu'il quitté southwark pour le strand quartier de la moyenne bourgeoisie, pour s'arrêter devant un immeuble ou Devlin descendit et invita à Lazulis à faire de même.

- Tu nous attends là Albert ?

Demanda-t-il

Albert : - Tant k'vous payé, j'attends ou vous voulez

Répondit Albert.

- Ce môme est la générosité même

Fit-il à Lazulis avec un petit rire.

Albert : - ce n'est pas la générosité qui foule ce soufflard sur la table.

Ils rentrèrent dans un immeuble plutôt cossu en comparaison de la demeure de Lazulis, montèrent au première étage ou Devlin ouvrit une porte et fit entrer la jeune femme dans un bel appartement bien décoré.

Laz : - Bien sûr, nous sommes d'accord, je vous rendrais les vêtements après notre soirée. Combien avez-vous de planque dites moi ?

Elle ne le montra pas, mais elle était très impressionnée par le luxe du quartier, de l'immeuble et de l'appartement. Devlin venait vraiment d'un autre monde, au fond, elle ne se sentait clairement pas à la hauteur. Si elle ne c'était pas aussi bien entendu avec lui, elle ne serait pas resté à ses côté histoire de ne pas entacher sa réputation.

- C'est... Vraiment magnifique, je n'ose même pas imaginer à quoi pourrait ressembler votre chez vous…

Dev : - D'accord, j'ai en tout 6 planques. 2 à southpark 3 à whitechappelle et celle-ci que je définirait comme une planque de transition.C'est là que je viens pour troquer mes habits normaux en vêtement moins élégant. Si vous désirez prendre un bain, la salle de bain est ici. Il y a l'eau courante et l'eau chaude. Probablement aurait vous sans doute l'occasion de voir mon vrai chez moi. J'habite pile à la limite entre wesmister et le strand. Quand on a partagé le mal de mer on peu tout partager. Dans la chambre il y aura diverse tenue, dont vous arriverez à trouver votre bonheur.

Laz : - Vraiment, vous n'êtes pas banale, je vais donc de ce pat me préparer, si vous avez besoin de votre salle de bains n'hésitez pas à y rentrer, et n'y voyais pas ceci comme une invitation à autre chose !
Ou pas.
Elle se rendit donc dans la salle de bains ou elle retira tous ses vêtements et ses bandages aux pieds. Elle regarda sa malheureuse robe de soie au sol et soupira. Peut-être arriverait-elle à la retaper autrement. Maintenant qu'elle était nue, elle se pencha sur la baignoire et hésita sur son utilisation. Et bien oui ce n'était pas tous les jours qu'elle avait l'occasion d'utiliser une salle de bain aussi luxueuse, c'était très perturbant.

Elle ne remplit pas le bain à rebord, mais mit assez d'eau pour qu'elle puisse y entrer et se laver, ce n'était pas nécessaire pour elle de gaspiller autant d'eau. Même si cela l'a tenté excessivement de se la couler douce.

Elle prit du savon et se savonna le corps avant de se poser juste un moment dans l'eau. Elle avait les bras posé sur chaque côté de la baignoire et ses cheveux étaient lâché. Elle regardait autour d'elle. Chaque détail était magnifique.

Lazulis commença à parler fort pour que Devlin puisse l'entendre.

- Vous allez trouver ça absurde voir excessive, mais... Je me permets de vous le demander, auriez-vous du tabac ?

Devlin eut un sourire et une expression en regardant Lazulis qu'il lui vallut une baffe outré de la part de pas mal de femme. Ce genre d'expression qui voulait dire frenchement " frenchement il faudrait être curé pour ne pas voir une quelconque invitation". Bien qu'il sentait que les paroles de Lazulis était sincère, il ne pouvait s'empêcher de plaisanter. Il laissa Lazulis profiter de la salle de bain et en prfita pour aller sélectionner ses vêtements pour la soirée. Chemise blanche , veste redingote et pantalon noir, foulard assortit, il venait d'achever sa selection lorsqu'il entendit Lazulis lui demander s'il avait du tabac.

- J'ai ce qu'il faut je vous emmene ça, il faut du papier avec ça ?

Par l'affirmative il prit egalement du papier à rouler et entra dans la salle de bain , en essayant de regarder dans une direction autre que la baignoire.
Il s'approcha pour lui emmener.

Lazulis fut surprise d'une réponse positive, ce qui lui vallut de rigoler à gorge déployer. Elle le regarda arriver avec son petit plateau, c'était amusant de le voir regarder partout sauf en sa direction. Elle garda un sourire amusée sur les lèvres et attrapa le tout en s'asseyant dans l'eau et en lui demandant une serviette pour pouvoir essuyer ses mains. Mis à part quand elle regardait ce qu'elle attrapait elle ne lâchait pas Devlin du regard, c'était vraiment mignon et amusant !

- Merci pour tout Devlin, est-ce que vous vous joignez à moi ?

Dit-elle en roulant tranquillement sa cigarette sans préciser la nature de sa question à Devlin. Est-ce qu'elle l'invitait dans la baignoire ou est-ce qu'elle l'invitait à lui rouler une cigarette. Même son regard était perturbant, impossible de savoir ce qu'elle insinuait et cela l'amusé.

Spoiler:

Le Devlin dut très surpris par la proposition qui le fit tourner directement le regard vers Lazulis et donc être le témoin d'un très beau specable. Il releva très rapidement le regard vers le haut chose inutile lorsque l'on a une mémoire photographique.

- Ma foi

Fit-il sortant de sa poche intérieur son étuit à pipe, préférent opter la compréhension de sa phrase par cette option là. Néanmoins faisant un énorme travail contre ses yeux, pour ne pas se delecter à nouveau devant la vision de paradis qui était dans sa baignoire.

Laz : - Attendez qu'est-ce que vous faites ? Je ne vous ai jamais invitez à fumer en ma compagnie.

Là elle essayé de se retenir de rigoler et garder très bien son air sérieux et stoique.

Devlin : De toute evidence ce n'était pas la bonne option. Devlin rangea calmement sa pipe avec un air de " ha elle veut jouer à ça "

- Désolé j'avais mal compris

Dit-il avec un sourire taquin et coquin, les deux et commença à se déshabiller.
Une fois nue il rentra dans la baignoire.

Elle se retint encore de pouffer de rire en le voyant s'excuser, le pauvre, elle était littéralement en train de le manipuler. Elle laissa un mini rire sortir, mais il était à peine perseptible. Elle le laissa s'installer dans la baignoire et le regardant avec un visage froid en arquant un sourcil.

- Qu'est-ce que vous faites cette fois ? Mais … ça va pas bien... je faisais juste allusion au fait de vous asseoir sur le bord de la baignoire et de partager une discusion et vous voilà nu dans la bangoire ou je suis...
Elle laissa un silence plané et puis éclata de rire en l'éclaboussant avec de l'eau. Non là, la situation était trop drôle , elle ne pouvait pas s'empêcher de rire.

Devlin eut un petit rire à l'annonce de ce qu'elle sous entendait et quand elle lui éclaboussa le visage après sa diatribe ou elle traité presque de keuchon .

- Hey c'est pas de ma faute c'est vous qui êtes ambigüe .

Dit il en rigolant et en l'éclaboussant en retour.

Laz : C'est vrai qu'elle avait été très ambiguë, elle l'avait cherché aussi ! Et c'était on ne peux plus amusant surtout en voyant ses expressions faciles et sa répartie.
Lazulis reserra les cuisses et posa ses jambes sur Devlin après avoir reus de l'eau en rigolant . Par contre sa cigarette qui était trempé... ça ça passé moyen...
Elle fronça des sourcils et grogna .

- Ma cigarette ! Je m'apprêtais à l'allumer... ça mon cher vous allez me le payer.

Lazulis ne savait pas vraiment ce qui lui arrivé, pourquoi se sentait-elle aussi proche de l'homme? Elle qui c'était promise de ne plus faire confiance à la gente masculine, c'était complètement râté.

Elle se leva de l'eau sans aucune pudeur et vint s'asseoir litteralement sur Devlin, elle se retrouvait face à lui, le plateau en main.

- Au boulot, je vous laisse rouler ! Je n'en ai plus le courage !

Cette situation beaucoup d'homme l'aurait trouvé très gênante. Pourtant ce ne fut pas le cas de Devlin. Qui au contraire trouvait Lazulis de plus en plus sympathique et attirante. Le contact de sa peau sous l'eau avait un effet assez frustrant.

- Tout dommage mérite réparation

fit-il avec un clin d’œil. Se demanda presque jusqu'où elle irait. Il prit une feuille et le tabac après s'être séché les mains et toujours fixant Lazulis dans les yeux il roula une nouvelle cigarette. S'attardant particulièrement sur la partie du collage. Les fumeurs comprendrons. En matière de provocation il savait se poser là . Et était prêt à relever le gant. Une fois la cigarette roulé, il ne l'a mit pas dans la main de Lazulis mais la lui l'a glissa délicatement entre les lèvres.

Tel est prit qui coryait prendre.

Lazulis c'était fait prendre dans son propre jeu là. Du coup elle était complètement perturbé quand il lécha la feuille de cigarette et quand il glissa celle-ci entre ses lèvres. En fait sans qu'elle ne s'en rende compte elle avait prit un teint très rouge, le seul signe de sa gêne ou de sa pudeur.
Elle parla d'une voix de : «  j'ai une cigarette entre les lèvres »

- Vous croyez vraiment que je vais fumer quelque chose que vous venez de lécher ?
Et bien oui, elle prit le feu sur le plateau et l'alluma sans le lâcher du regard.

- Je dois vous avouer Devlin que là... vous m'avez cloué le bec.

Elle n'osait même plus bouger d'où elle était et c'était encore pire quand elle sentit que la bête était en train de se réveiller. Mais qu'est-ce qu'elle était en train de faire. Elle avait honte, tellement honte, surtout qu'elle cherchait juste à s'amuser, elle ne voulait pas... enfin si … ou pas... elle se claqua le front après avoir fumé quelques taffe et glissa la cigarette entre les lèvres de Devlin.

Devlin sourit en regardant Lazulis, un sourire d'une certaine tendresse. Il était étonné lui même qu'il s’acharner à repousser toute les femmes qui osé croiser sa route à ne pas voir envie de repousser Lazulis.Et trouvait même ce petit jeu assez excitant. Il eut un rire franc, lorsqu’elle lui demanda s'il s'imaginer qu'elle allait fumer un truc qu'il avait léché. Chose pourtant qu'elle fit. Ne bougeant de la proximité qui mettait le détective en émoi qu'il savait s'il devait être fière ou pas de lui avoir coupé la chic.

Lorsqu'elle lui mit la cigarette dans la bouche, il tira une longue latte.
Avant de dire sur un ton presque doux :

- Je ne torture jamais les jolies oiseaux.

Mais de toute évident oui, c'était un bel oiseau, qu'il avait imperceptiblement attiré tout contre lui.

Laz : - …. Par contre, les oiseaux moches... Ce n'est pas très courtois de votre part, monsieur Stanton de faire ce genre de discrimination.

Elle le regardait fumer, c'était très plaisant. Même avec ses relations précédente, elle n'avait jamais été aussi proche de quelqu'un. Elle ne tenait pas forcement à l'avoir dans son lit directement… En fait, elle voulait juste être proche de lui et là, on ne pouvait pas faire mieux.

La jeune femme se redressa de nouveau et se remet à sa place en remettant cependant ses jambes sur lui comme précédemment, elle attrapa si c'était possible un des pieds de Devlin et commença à le savonner avec le savon en regardant ce qu'elle lustré. Bien sûr en se relavant, elle avait eut la descende de ne pas attarder son regard ailleurs... Quoi que si en fait, mais ça n'avait duré qu'un quart de seconde et elle n'en revenait pas de le mettre dans des états pareils.

- Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas autant amusée... Je ne regrette en rien ma journée, croyez-moi, je ne souhaiterais pour rien au monde être ailleurs... Je crois pouvoir vous faire confiance, mais ce n'est pas la peine de vous le dire, je vous l'ai suffisamment montré jusque-là... c'est d'ailleurs très étrange venant de moi.
Elle haussa des épaules.

Bien qu'il ne le montra pas Devlin fut d'un certain côté un peu déçus qu'elle s'éloigna de lui. Néanmoins il comprenait qu'il ne fallait pas précipiter les choses. Il avait dut mal à se comprendre lui même. Bizarrement en présence de Lazulis, il se sentait particulièrement bien.Il n'avait put s'empêcher d'admirer le corps de la jeune femme lorsqu'elle se releva pour se remettre à sa place initiale. Il l'observa tant dis ce qu'elle lui frottait les pieds et entreprit de faire de même avec les siens avec délicatesse en faisant attention à ses blessures. Il inclina tête légèrement sur le côté et désireux de ne pas la trahir il ne put quand même s'empêcher de poser une question.

- Si étonnant que ça ?

Elle cachait un mystère et la part du detective aimé résoudre les mystères .

Lazulis était un peu chatouilleuse, du coup quand Devlin entreprit de lui laver aussi ses pieds elle lâcha un petit rire mais se détendit rapidement et ne ressentit plus du tout les chatouilles au bout de deux trois caresses.

- Très étonnant même...

Elle soupira sans s'arrêter de curer les pieds de Devlin.

- Je … je ne fais plus confiance aux hommes en générale, voilà tout.

Dev : Devlin releva un sourcil, détendue tout en continuant à nettoyer les pieds , les chevilles de Lazulis.
- Vous voulez que je vous fasse un aveux ? J'ai le même état d'esprit vis à vis de la gente féminine.
Il la regarda dans les yeux.
- Mais je suis heureux que vous appréciez cette journée. Même la période ou vous êtes resté assommé

Elle le regarda tendrement, ce qu'il venait de lui dire était très touchant. Surtout qu'il n'était pas obligé de lui confier ceci. Il faut dire qu'elle non plus, mais elle avait sentit un besoin de le lui dire. Ou Alors disait-il ceci par pure galanterie? Non ça ne semblait pas du tout être son genre.

- J'aimerais que mes journées dans le futur soit aussi extraordinaire !

Elle prit une petite pause dans ses paroles et repris :

- Que c'est-il passé pour que vous ne fassiez plus confiance aux femmes ? Enfin... vous n'êtes pas obligé d'en parler, mais vu la situation dans laquelle nous sommes, je crois qu'il est difficile de se cacher des choses maintenant.

C'est vrai, ils c'était tout les deux littéralement mis à nu. En générale c'était le côté mentale qu'on dévoilé... et pas le côté physique. Ces deux là ne fonctionnaient pas comme les autres, ils étaient sans doute fait pour s'entendre.

Devlin eut le visage qui se ferma légèrement à l'évocation des souvenirs qui lui revint en tête à la question. Mais il redevint serein, il prit une profonde inspiration et poussa un soupire. Jamais jusqu'à présent il n'avait révélé ce qui avait autant refermé son cœur et son âme.

- C'est une longue histoire vous savez. Le genre d'histoire qui s'accompagne de violon déchirant et de piano affligé d'une lenteur exécrable

Il la regarda de nouveau, admirant son beau visage.

- et vous allez probablement trouver cela des plus stupide car c'est bel et bien à cause d'une femme mais qui ne ma point trompé ou quitté ni autre chose de ce genre mais qui c'est simplement servit de moi . Elle m'a séduite, convainque de lui apprendre mes secrets et servie de tout ce que je lui ai enseignée à des fins malhonnête. Et depuis lors je n'arrive plus à faire confiance. Idiot hein ?

Lazulis l'écouta en arrête de laver ses pieds et chevilles et reposa le savon. Elle eut un air triste en l'entendant et tendit les bras vers lui.

- Venez.

Elle l'invitez de cette façon à venir se blottir dans ses bras, comment pouvait-on trahir quelqu'un comme ça? Surtout un homme tel que lui... cela l'exaspéré et si un jour elle croisait cette personne il y aurait eut moyen qu'elle plante de nouveau son aiguille à cheveux dans un corps.

- Je comprends un peu mieux et pourtant, vous êtes là dans le même bain que moi à rire de nos bétises...

Devlin eut un fin sourire à l'invitation, certain gentleman se serait retenus, mais les gentleman se sentirait peut être insulté que l'on range Devlin dans leur catégorie. Lentement il vint vers elle et l’enlaça, sentant la chaleur de son corps tout contre le sien et lui murmurant à l'oreille :

- C'est que nos bêtises sont drôles, vous êtes la premières personne à qui je parle de cette affaire depuis qu'elle à eut lieu. Seule ma gouvernante qui était jadis ma nourrice était au courant.

Il s'écarta légèrement , juste assez pour pouvoir la regarder droit dans les yeux, le visage à quelques centimètres du sien.

- Par contre essayez de garder le secret, je tiens à ma réputation.

On sentait qu'il riait un peu jaune et essayant de détendre un peu l'atmosphère.

Laz : A l'accueilla très chaleureusement dans ses bras et passa ses mains dans sa nuque et ses cheveux pour les caresser tout doucement. Elle n'arrêta ce geste que lorsque qu'il se redressa un peu pour la regarder dans les yeux et parler.

- Et bien, je m'en vois flatter... même très flatter, merci pour cette confidence et je vous promet de ne jamais révéler ce secret et pas par simple politesse pour votre réputation, mais parce que ce secret est beaucoup trop précieux pour le révéler à qui que ce soit d'autre. …

Elle prit un petit temps.

- Je veux bien sur parler du fait que vous ayez eut une gouvernante.

Elle lui fit un petit clin d'œil amusée et entreprit de recoller son visage contre elle. Recommençant de cette façon à caresser ses cheveux.

- si j'avais été là à cette époque, je vous jure que j'aurais fais en sorte de faire souffrir la personne qui à trahis votre confiance, c'est inadmissible.

Durant cet étreinte Devlin ne pouvait s'empêcher de caresser les épaules de Lazulis, il rigola de la plaisanterie de celle-ci et se sentait étonné qu'elle fusse prête à faire payer cher à Antonia ses me fais.

- Diable un petit cerbère.

Bien qu'il était tenté de lui demander la raison de sa perte de confiance envers les hommes, il eut un accès de descense mais était bien forcé d'admettre que semblait combler un manque dont il ne c'était pas rendu compte.

- On devrait peut-être commencé à envisager à y aller ?

Mais l'étreinte ne se relâche pas.

- Euh... et bien vous n'avez pas tord du tout...

Elle embrassa son front et le serra de plus belle dans ses bras, elle n'avait pas envie de ressortir de la baignoire, même s'il faut l'avouer l'eau commençait réellement à devenir froide.Lazulis embrassa ensuite sa joue et le poussa doucement pour qu'il se redresse. Elle avait laissé quand même quelques minutes passer histoire de profiter de ce câlin des plus agréable.

- Allons y , sinon je crois que je ne serais jamais décidé à entamer ma toilette, mais ne vous en faite pas je ferais bien rapide et efficace.

Une fois sortie de ce câlin, elle se redressa, sortie de l'eau, attrapa deux serviettes, en tendit une à Devlin et commença à s'essuyer avec l'autre. Elle ne se cachait même pas devant lui . En fait elle le dévorait du regard et cette fois le regardait sous toute ses couture sans gêne. Ce n'était pas un regard pervers , c'était juste un regard désireux d'en connaître plus sur cette personne si fascinante.

- Je vais avoir besoin de vous, j'aimerais savoir ce que vous allez porter pour pouvoir m’accorder avec vous … Et surtout que me proposez vous... vous devez vous y connaître ne robe vu que vous semblez en porter ? A moins que vous n'ayez d'autre femme dans les parages et que vous êtes un beau menteur ?

Elle rigola amusée encore une fois, elle supposait que s'il avait ce genre de robe chez lui c'était tout simplement pour se déguiser et s’infiltrer, rien de plus. Mais s'il avait d'autre délire pourquoi pas ? Après tout il faisait ce qu'il voulait.

Elle regarda la tenu que Devlin avait choisi et se laissa guider vers ls tenues pour femme , elle tenait sa serviette devant elle, pas pour se cacher mais simplement parce qu'elle la tenait de cette façon inconsciemment.

Il est vrai que c'était un regret que Devlin du se séparer de cet étreinte, qu'il aurait souhaité bien plus longue. Tant dis que les deux se sécher, il sentait le regard de Lazulis posé sur lui, tout comme le sien était d'ailleurs posé sur elle. Elle avait un corps absolument parfait . Lorsqu'elle lui proposa d'accorder leurs vêtements, il la guida vers une robe au ton azure qui s'accordait plutôt bien avec le veston qu'il portait.

- En réalité certaine robe sont conçue pour moi pour me déguiser et d'autres simplement là lorsque j'ai besoin d'une complice pour des infiltrations. Celle-ci vous ira parfaitement.

Fit-il ne pouvant s'empêcher de détailler Lazulis avec une voix qui en disant long sur son admiration.

Cette robe était juste magnifique , jamais elle n'aurait eut les moyens de s'offrir une telle chose.
Lazulis enfila tout le nécessaire dont son corset à elle en dessous pour enfiler la belle tenue. Il ne manquait plus que la coiffure. Elle demanda à Devlin le nécessaire à coiffure et se coiffa d'un magnifique chignon un peu négligé mais classe et fit une révérence devant lui.
- Je suis prête monsieur Stanton, désolé de vous avoir fait attendre.

Devlin admira la jeune femme tout le temps de sa préparation . Toujours fasciné par l'élégance des gestes de la gente féminine. Lui c'était simplement recoiffé et habillé comme précédemment dit. A la révérence de Lazulis, il s'inclina avec élégance puis s'emparant de sa canne , accessoire obligatoire du gentleman, il tendit le bras à la jeune femme comme pour l'inviter à le lui prendre.
- Allons-y donc très chère.